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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 11:29

L’IA nous impose la récupération de la journée de pentecôte, devenue journée de solidarité, en effectuant une demi-journée de travail obligatoire le mercredi 17 novembre et une autre demi-journée plus tard dans l’année.

 

Force Ouvrière s’est depuis toujours opposé à la prétendue solidarité affichée par la loi d’avril 2004 et au travail gratuit et obligatoire imposé aux salariés. Par ailleurs cette loi remet en cause la solidarité nationale incarnée par la Sécurité Sociale : c’est une attaque majeure contre celle-ci.

 

Le Snudi-FO rappelle que la circulaire du 18 novembre 2005 parue au BO n°43 précise : « la date de la journée de solidarité dans le 1er degrés est déterminée par l’IEN après consultation du conseil des maîtres ». Ce n’est donc pas l’IA qui la fixe, mais les conseils des maîtres qui informent l’IEN de la date choisie.

 

Les enseignants des écoles peuvent donc fixer ces ½ journées à la date qui leur convient pour préparer la fête de l’école, réunir des équipes éducatives hors temps de classe, se réunir avec le personnel ou les représentants de la mairie ou utiliser ce temps à toute fin leur paraissant utile tant que ce temps de travail est d’un minimum de 3h00.

 

Lorsque c’est le cas, les enseignants peuvent également informer leur IEN que les 3h00 (ou 6h00) ont déjà été effectuées pour le même usage précisé plus haut, ou par exemple les réunions de rentrée avec les parents, ou autre. Les enseignants indiquent alors qu’ils ont déjà largement effectué ces heures (ce qui est le cas dans la plupart des écoles).

 

Le conseil des maîtres propose la date et l’IEN valide.

 

Il convient simplement d’informer l’IEN de la disposition prise par les enseignants de l’école (par mail ou par courrier). A défaut de réponse de la part de l’IEN, l’organisation prise par le conseil des maîtres est réputée acceptée.

 

Vos délégués FO

Fabien Vasselin

Céline Delplanque

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7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 13:44

La journée de travail obligatoire gratuit que les autorités gouvernementales veulent imposer à tous les salariés est pour le moins inacceptable dans son principe à différents niveaux et contestable sur le plan juridique.

Par la loi n° 2004-626 du 30 juin 2004 « relative à la solidarité pour l'autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées », les autorités gouvernementales veulent imposer « une journée supplémentaire de travail non rémunérée », c'est à dire contraindre les salariés à travailler un jour de plus (7 h) gratuitement.

C'est contraire au « droit au salaire » prévu par plusieurs textes de droit international (ratifiés par la France, s'imposant à l'ordre juridique interne, au Code du Travail et aux statuts des Fonctions publiques), en particulier :

- la Convention de l'Organisation Internationale du Travail n° 29 (10 juin 1930) sur le travail forcé qui interdit « tout travail exigé d'un individu sous la menace d'une peine quelconque et pour lequel ledit individu ne s'est pas offert de plein gré » (art. 2.1) ;

- la Convention Européenne des Droits de l'Homme de 1950 (Rome 1950 - protocole n° 1 de 1952 - article 1, Jurisprudence CEDH) en ce que cette journée prive le travailleur de son salaire et porte donc atteinte à son patrimoine.

Par la circulaire CAB/GP/LCA n° 002092 du 9 mars 2005, le ministre de la Fonction publique supprime le lundi de Pentecôte dans la liste des jours fériés. Or la loi du 8 mars 1886 qui l’a instauré n’est pas abrogée… et il demeure donc toujours jour férié dans le Code du travail !

Un retrait de salaire pour "service non fait" serait donc contestable devant un tribunal.

 

Par ailleurs rien ne permet à un IEN ou un IA comme cela se fait sur la Vienne d’imposer deux ½ journées de récupération du lundi de pentecôte (en lisant la circulaire on se rend compte qu’en effet les dates ne sont pas imposées). En effet seul le conseil des maîtres peut fixer la date d’une éventuelle récupération. Il peut également estimer avoir déjà fait ces heures. Si un IEN interroge les collègues, ils peuvent par courrier l’informer de la date à laquelle ils ont fait cette récupération, et éventuellement l’informer de la manière dont ils sont occupé ce temps.


Extrait d'un article paru il y a quelques années:

 

C'est le troisième jour de congé que l'on nous supprime !

Comme nous n'avons pas la mémoire courte, rappelons que nous avons déjà perdu la « journée du maire », jour de congé dont la date était arrêtée par les maires pour une manifestation locale (exemples le 27 novembre pour la foire de Carpentras, les fêtes votives dans d’autres communes…). Ensuite, M. Allègre, ministre de l'Education Nationale de M. Jospin, nous a supprimé, à partir de la rentrée scolaire 1999-2000, le congé du mardi qui suivait le lundi de Pentecôte… maintenant, nous devrions céder le lundi !

Travailler plus, toujours plus, et gagner de moins en moins comme vient de le reconnaître le très officiel Centre d'Etude et de Recherche des Coûts, telle est la situation réelle qui nous est faite.

Sous prétexte de « solidarité »… charité et déréglementation !

Cette mesure est présentée comme « une journée de solidarité » pour financer la « Caisse Nationale de Solidarité pour l'Autonomie » (CNSA). Qu'en est-il ?

La loi du 30 juin 2004 a créé cette caisse (CNSA), contre l’avis de toutes les Confédérations Syndicales, pour financer la prise en charge des personnes âgées et des personnes handicapées. C’est un « établissement public national à caractère administratif » habilité à piloter la répartition des fonds qui lui sont alloués et qui peuvent provenir d’origines diverses.

Basée sur la charité publique, la CNSA est une caisse concurrente à la Sécurité Sociale fondée, elle, sur la solidarité entre les bien-portants et les malades, les actifs et les autres, les jeunes générations et les anciennes…

La Sécurité Sociale prenait en charge à 100 % les soins des personnes dépendantes (soit environ 7 milliards d’€) auxquelles annuellement, avec l’Etat et les collectivités territoriales, plus de 14 milliards d’€ au total étaient consacrés.

La CNSA fonctionne quant à elle sur le principe de « l’enveloppe globale opposable » (les dépenses ne doivent pas dépasser l’enveloppe préalablement fixée), c’est-à-dire qu’il n’y a plus de prise en charge quand il n’y a plus d’argent dans la caisse.

La CNSA a une gestion décentralisée à partir d’une répartition par Région attribuant des fonds à chaque département en fonction de leurs projets, par exemple pour la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) que la loi Montchamp (11 février 2005) ordonne aux Conseils Généraux de mettre en place sous leur responsabilité.

Autrement dit avec la loi Montchamp et la CNSA, l’Etat se désengage et désengage la Sécurité Sociale du devoir de solidarité nationale. Les personnes âgées et les personnes handicapées deviennent dépendantes… de la charité publique et des élus politiques de la Région et du Département ! La CNSA et la loi Montchamp ouvrent grandes les portes des inégalités, de l’arbitraire et du clientélisme.

Indiquons que les 0,3% de la masse salariale reversés par les patrons et les Administrations à la CNSA ne permettront de compenser qu’en partie la réduction des dépenses publiques et du budget de la Sécurité Sociale imposée par l’Union Européenne !

Ainsi au moment où cette opération est lancée, la Sécurité Sociale étatisée réduit les remboursements des transports des enfants handicapés tandis que l’Etat ferme les structures spécialisées qui les accueillaient pour intégrer ces enfants dans les écoles ordinaires (un élève dans une école ordinaire « coûte » 7000 € par an contre 25 000 € dans une structure spécialisée !).

Les salariés devraient donc travailler une journée de plus gratuitement pour que les personnes âgées et les personnes handicapées aient… moins de droits !

Pour FO, la solidarité c’est

- le retour à la prise en charge à 100% par la Sécu des personnes âgées et des personnes handicapées,

- la création des places et des structures ou établissements adaptés nécessaires pour accueillir les  personnes âgées et les personnes handicapées, en particulier les enfants handicapés dont les droits aux soins et à un enseignement spécialisé doivent être garantis par la Sécurité Sociale (soins) et par l’Etat (enseignement spécialisé).

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28 octobre 2008 2 28 /10 /octobre /2008 18:48
Etant donné le contexte dans le secondaire comme dans le primaire, nos deux sections syndicales ont décidé de tenir une réunion commune le mercredi 19 novembre à 14h00, rue des Deux-Communes à Buxerolles dans les locaux de l'UD-FO86.

Pour les enseignants du primaire de corvée de 1/2 journée de "solidarité", le SNUDI-FO organisera une 1/2 journée d'info syndicale afin de permettre aux collègues de participer.

Nous appelons enseignants du primaire, AVS, EVS, CAE, CAV, LC, PE1 et PE2 à participer nombreux nombreux à cette réunion qui nous permettra de faire le point sur le situation et les moyens de la riposte.


Vous voulez participer?
CONTACT :
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4 juin 2007 1 04 /06 /juin /2007 13:19
Lundi de Pentecôte :
 Pas de répit pour les travailleurs !
 
Malgré l’élection d’un nouveau Président de la République, les travailleurs n’ont pas obtenu la grâce présidentielle pour le lundi de Pentecôte.
 
Depuis l’instauration en 2004 du dispositif faisant du lundi de Pentecôte un jour travaillé, Force Ouvrière n’a cessé de dénoncer cet allongement du travail qui, sous prétexte de solidarité à la prise en charge de la dépendance et du handicap, est très injuste et ne repose que sur les salariés.
 
Alors que dans certaines entreprises des accords ont permis un aménagement de cette mesure, l’ensemble des salariés est toujours contraint de travailler le lundi de Pentecôte sans contrepartie et sans rémunération supplémentaire : un nouveau « travailler plus » mais cette fois pour « gagner moins ! ».
 
Force Ouvrière rappelle également que le produit de cette journée a permis à l’Etat d’exclure la prise en charge du handicap et de la dépendance de la Sécurité Sociale qui est la seule à présenter des garanties de compétences et de neutralité pour gérer les questions de solidarité nationale.
 
La Confédération Générale du Travail Force Ouvrière demande de nouveau le retrait de ce dispositif et interpelle le nouveau Gouvernement afin qu’il ne reste pas sourd aux préoccupations légitimes des salariés.
 
La Confédération apporte d’ores et déjà son soutien à toutes les initiatives engagées par ses structures visant à rétablir les salariés dans leurs droits et en particulier le droit aux congés et au salaire pour tout travail effectué.
 
Paris, le 21 mai 2007
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21 mai 2007 1 21 /05 /mai /2007 14:42

Venez vous informer mercredi 30 mai :

CONTRE la journée de "solidarité"

POUR la défense de la sécurité sociale

à CHÂTELLERAULT de 9h30 à 12h00, Union locale FO / 20 rue Creuzé

à POITIERS de 14h00 à 16h30, Salle Timbaud / rue Saint Paul

CONTRE la destruction de nos statuts et des services publiques

CONTRE le projet de décret des EPEP, la précarité des EVS et AVS

POUR l'école publique, laïque, communale et républicaine

POUR le pouvoir d'achat, et un vrai statut pour les EVS et AVS

(ouvrir lettre au format WORD à adresser à votre IEN - peut lui être adressé par mail)

 

Depuis la création de la journée de « solidarité » le SNUDI-Force Ouvrière s'est partout opposé à cette journée de travail gratuit qui va à l'encontre de nos convictions : tout travail mérite salaire.

En outre, la création de la CNSA (comme vous le lirez dans le bulletin joint) en confiant certaines catégories de la population à une caisse distincte qui finance parfois des institutions privées est pour la Confédération Force Ouvrière un acte grave de démantèlement de la Sécurité Sociale. En nous opposant à la journée de « solidarité », nous refusons que ce travail de destruction de la Sécurité Sociale continue et que des catégories entières de la population française soient ainsi traitées par des caisses spéciales : nous refusons la privatisation de la protection sociale.

Force Ouvrière, syndicat regroupant 800.000 salariés du privé et du public rejette donc cette corvée imposée suite à l'inconséquence des pouvoirs publics au lendemain de la canicule de 2003.

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26 mars 2007 1 26 /03 /mars /2007 11:00

 LIEN POUR PARTICIPER AU BAS DE L'ARTICLE

Cher(e)s collègues,

Comme vous le savez certainement l'Inspecteur Académique a fixé dans la Vienne la journée de « solidarité », journée de travail gratuit obligatoire, en deux demi-journées. Il s'agit des mercredis 11 avril et 30 mai. En matinée pour les calendriers à 4 jours, et l'après-midi pour les écoles à 4,5 jours par semaine.

Depuis la création de la journée de « solidarité » le SNUDI-Force Ouvrière s'est partout opposé à cette journée de travail gratuit qui va à l'encontre de nos convictions : tout travail mérite salaire.

En outre, la création de la CNSA (comme vous le lirez dans le SNUDI-inFO en lien ci-dessous) en confiant certaines catégories de la population à une caisse distincte qui finance parfois des institutions privées est pour la Confédération Force Ouvrière un acte grave de démantèlement de la Sécurité Sociale. En nous opposant à la journée de « solidarité », nous refusons que ce travail de destruction de la Sécurité Sociale continue et que des catégories entières de la population française soient ainsi traitées par des caisses spéciales : nous refusons la privatisation de la protection sociale.

Force Ouvrière, syndicat regroupant 800.000 salariés du privé et du public rejette donc cette corvée imposée suite à l'inconséquence des pouvoirs publics au lendemain de la canicule de 2003.

Le SNUDI-Force Ouvrière appelle donc les collègues à se réunir, s'informer et débattre des conditions de travail qui sont devenues les nôtres, du projet de décret créant les EPEP... Le 11 avril participez à la demi-journée d'information syndicale à Châtellerault ou à Buxerolles et refusez de faire la demi-journée de travail gratuit qu'on veut nous imposer.

Participez à la ½ journée d'information syndicale de votre choix
MERCREDI 11 AVRIL :
9H30 – 12H00 à CHÂTELLERAULT
14H00 – 16H30 à BUXEROLLES

Venir vous informer est un droit.
Ce n'est pas une grève, vous serez donc payé normalement.
Vous pouvez participer à 2 demi-journées d'information syndicale par an.

Pour vous inscrire imprimez le bulletin en pièce jointe.
N'hésitez pas à contacter le syndicat pour de plus amples informations et nous signaler votre venue.
Signalez nous toute pression exercée pour vous dissuader de participer.

MERCI DE METTRE A DISPOSITION DES COLLEGUES LE BULLETIN JOINT
N'HESITEZ PAS A AFFICHER EN SALLE DES MAITRES L'AFFICHE JOINTE.


Liens :
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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 13:56
FNEC-FP-FO              SNUDI.FO

La journée de solidarité 

 

Un instrument de destruction de nos droits statutaires.

 

Non au travail gratuit

 

 L'arrêté du 4 novembre 2005 qui entend imposer deux demi journées supplémentaires (ou 7 heures)  est la transcription dans l'Education nationale de la loi du 30 juin 2004 relative à la Solidarité  pour l'autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées qui crée un jour de travail non-rémunéré pour financer les recettes de la CNSA.

 LIRE LA SUITE DE L'ARTICLE

Dès à présent refusez la 1/2 journée de travail obligatoire, participez le 11 avril à la 1/2 journée d'info syndicale organisée par le SNUDIFO : contactez le syndicat pour participer(par mail ou téléphone)
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14 février 2007 3 14 /02 /février /2007 18:00

Travail gratuit forcé.

Ni le lundi de pentecôte, ni deux autres jours !

Le SNUDI-FO s’est toujours prononcé contre cette journée dite de solidarité qui représente 6h de travail gratuit et exclut les personnes âgées et les personnes en situation de handicap de la Sécurité Sociale solidaire (voir nos précédentes publications). Le SNUDI-FO ne peut accepter qu’on impose aux collègues des heures supplémentaires alors qu’ils ont des charges de famille, des obligations professionnelles et privées diverses...

Il s’agit pour les personnels du même rejet que celui qu’ils ont massivement exprimé pour le retrait du CPE et de toutes les mesures de flexibilité et de déréglementation qui touchent les salariés comme les jeunes, ceux du privé comme ceux du public, dans l’enseignement comme partout ailleurs.

Rejet exprimé de nouveau lors de la journée de grève du 8 février.


Les enseignants se souviennent que dans des circonstances similaires, par leur mobilisation contre les journées de pré-rentrée imposées, ils avaient défendu avec succès leur liberté pédagogique liée à leur statut de fonctionnaire d’état, exerçant dans l’Ecole publique et laïque.


Ni le 11 avril, ni le 30 mai ! Pour le SNUDI-FO, il ne peut y avoir de travail « obligatoire »
en dehors des obligations de service.

Participez à la ½ journée d'info syndicale le 11 avril!

page 2

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28 janvier 2007 7 28 /01 /janvier /2007 12:57

JOURNEE DE

« SOLIDARITE »

Non au travail gratuit !






Le gouvernement nous parle de solidarité avec les « vieux ». Mais il omet volontairement une vérité totalement contraire à cet effet d'annonce : par la généralisation du dispositif de solidarité les personnes âgées sont de fait exclues, en tant que catégorie sociale, de la protection sociale commune à tous de la naissance à la mort.

Or, la protection sociale assise sur les cotisations sociales (employeurs et salariés) est antinomique avec le principe de la journée de « solidarité » basée sur le principe de la charité publique. Qui ne comprend que demain cette solidarité exigera non pas une journée mais deux, ou plus, de travail gratuit. Faire travailler gratuitement les salariés: c'est le rêve de tout patron depuis la création du travail salarié.

Pour Force Ouvrière le travail gratuit est inacceptable, aujourd'hui comme hier !

Tout travail mérite salaire !!!

Etre bénévols n'est pas un travail, c'est un choix personnel, ce n'est en aucun cas une obligation. Nous sommes favorables à la solidarité nationale, non à une exploitation déguisée.

Le SNUDI-FO mettra en oeuvre les moyens légaux et réglementaires pour faire en sorte que les collègues qui le veulent n'aient pas à effectuer ce travail gratuit.

Prenez contact avec le syndicat qui vous indiquera la marche à suivre.

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En une :

nouveau_hv.gifNouveau site internet pour retrouver le Snudi-FO86 :

>>>>> http://86.fo-snudi.fr

 

                                                                                                               

  

Loi d'orientation sur la "Refondation de l'Ecole"

Signez, faites signer la pétition rythmes scolaires en ligne (ici)

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